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À faire ou à éviter : demander une contribution pour le café au bureau ?
Le café au bureau est, comme tout investissement professionnel, une affaire de coûts et de bénéfices. La plupart des entreprises proposent gratuitement du café à leurs travailleurs, tandis que d'autres choisissent de leur demander une contribution financière. Y a-t-il une option meilleure que l'autre ? Et vous, que devriez-vous faire ? Lisez nos conseils gratuits (aucune contribution exigée).
Café au bureau : des avantages variés
L'essentiel à retenir est que le café au bureau ne se limite pas à l'aspect financier. En tout cas, il ne s'agit pas de revenus et de dépenses visibles. Car vous ne pouvez pas demander autant qu'un bar à café. Sinon, vos collaborateurs ne tarderont pas à apporter leur propre café au bureau.
Heureusement, vous n'êtes pas tenu de faire des « bénéfices ». Les atouts du café gratuit au bureau se répartissent dans des domaines aussi variés que la productivité, l'esprit d'équipe et la loyauté.
Café gratuit : le choix de base
Est-il vraiment nécessaire de revenir sur l'influence du café sur votre productivité ? Vous en éprouvez peut-être les bienfaits chaque matin, juste après votre première tasse. Le café gratuit au bureau améliore également la cohésion entre collègues. Une machine à café stimule la concertation informelle entre les travailleurs des différents services. Et les collaborateurs s'entraident en allant chercher une tasse pour un collègue trop occupé.
Par ailleurs, le café gratuit vous permet de renforcer la confiance que vous accorde votre personnel. Pendant les dernières années de crise, des économies ont été réalisées sur de nombreux avantages extralégaux. Des petites choses comme le café ou une corbeille de fruits seront tout particulièrement appréciées.
Pour ces raisons, environ 75 % des entreprises offrent du café gratuit au bureau.
Contribution au café : des situations particulières
Si une organisation choisit malgré tout de faire payer le café, c'est souvent qu'elle a une raison bien particulière de le faire. Lorsqu'une machine à café avec gobelets jetables est située dans un environnement de production, l'employeur demande parfois une petite contribution pour participation aux frais. Il limite ainsi le nombre de gobelets qui traînent dans l'usine.
Si une entreprise reçoit beaucoup de visiteurs ou si un appareil est placé dans un lieu accessible au public, il est alors intéressant d'envisager une contribution.
Une option intermédiaire est également possible. Vous pouvez offrir du café gratuit dans des thermos ou au distributeur, tandis que vos travailleurs peuvent également boire un vrai espresso en échange d'une petite contribution. Vous satisferez les plus grands amateurs de café de votre équipe sans adapter votre budget café.
Qui reçoit les revenus du café ?
Si vous décidez de demander une contribution à vos travailleurs, c'est vous qui aurez le dernier mot concernant les prix de vente. Et les revenus seront également pour vous. Votre fournisseur est simplement un partenaire technique et logistique auprès de qui vous louez vos machines et commandez votre café.
Cela signifie que vous déterminez vous-même la façon dont vous calculez les consommations. Soit vos collaborateurs paient chaque tasse au distributeur, soit vous tenez en interne une liste du nombre de tasses bues. Un décompte sera ensuite réalisé une fois par semaine ou une fois par mois.
Café gratuit au bureau au pas ? À vous de choisir. Et ce choix, vous pouvez le faire grâce à un exercice de réflexion simple. Dressez d'abord une liste des avantages et inconvénients financiers et non financiers du café au bureau. Puis demandez-vous si vous avez une raison particulière pour demander une contribution à vos travailleurs.
Vous saurez ainsi clairement dans quel camp vous situer : parmi les 75 % d'entreprises qui offrent du café gratuit ou parmi les 25 % restants qui font payer leur café. Fixez ensuite le montant que vous demanderez pour une tasse et le mode de calcul des consommations.